Lettres du Capitaine Bosc, Artillerie à Cheval de la Garde
Publié: 12 Fév 2012, 16:14Je m'aperçois n'avoir pas ouvert de post dédié lors de la mel ci-dessous le 2 Février 2012, et répare cet oubli.
"Lettres du Capitaine Bosc, Artillerie à Cheval de la Garde, 1807-1809".
http://planete-napoleon.com/docs/BOSC.Lettres.pdf
Ces documents inédits m'ont été communiqués par Jean-Luc Marie, membre de notre forum, pour les y publier dans l'intérêt du lectorat.
Cet intéressant officier nous dévoile ses états d'âme, jusqu'à s'en montrer touchant. C'était un jeune homme sensible et très attaché à sa famille. Ces lettres sont toutes adressées à son curé de frère (le sabre et le goupillon dans une même famille !), à qui il reproche souvent de ne pas lui écrire.
Plus intéressantes pour nous sont les descriptions de la Pologne et de l'Espagne, qui nous confirment, voire nous apprennent, bien des choses.
Les relations des événements auxquels il n'a pas participé nous montrent l'information telle qu'elle parvenait aux officiers et donc telle qu'ils la répercutaient de bonne foi aux troupes et aux familles.
Ses expériences personnelles sentent bien entendu le vécu. Sa mésaventure presque fatale en Espagne ne s'invente pas. Dieu sait combien de détachements ne revinrent pas de telles péripéties.
Bon, je ne vous dévoile pas tout, qu'il vous en reste à découvrir, surtout que c'est écrit en gros !
Diégo Mané
"Lettres du Capitaine Bosc, Artillerie à Cheval de la Garde, 1807-1809".
http://planete-napoleon.com/docs/BOSC.Lettres.pdf
Ces documents inédits m'ont été communiqués par Jean-Luc Marie, membre de notre forum, pour les y publier dans l'intérêt du lectorat.
Cet intéressant officier nous dévoile ses états d'âme, jusqu'à s'en montrer touchant. C'était un jeune homme sensible et très attaché à sa famille. Ces lettres sont toutes adressées à son curé de frère (le sabre et le goupillon dans une même famille !), à qui il reproche souvent de ne pas lui écrire.
Plus intéressantes pour nous sont les descriptions de la Pologne et de l'Espagne, qui nous confirment, voire nous apprennent, bien des choses.
Les relations des événements auxquels il n'a pas participé nous montrent l'information telle qu'elle parvenait aux officiers et donc telle qu'ils la répercutaient de bonne foi aux troupes et aux familles.
Ses expériences personnelles sentent bien entendu le vécu. Sa mésaventure presque fatale en Espagne ne s'invente pas. Dieu sait combien de détachements ne revinrent pas de telles péripéties.
Bon, je ne vous dévoile pas tout, qu'il vous en reste à découvrir, surtout que c'est écrit en gros !
Diégo Mané