MANÉ Diégo a écrit:Le paragraphe 6 page 3 définit ce qu'il faut considérer comme une réaction.
Clairement, le fait de devoir changer d'orientation entre dans la définition.
OK
Je lirai mieux la prochaine fois
Question annexe sur le même thème : une unité se trouvant "tubes vides" (le cas le plus courant est celui d'une artillerie qui vient de dételer) quand elle est chargée teste-t-elle en partant de 1 ou de 0 ?
J'aurai tendance à la faire partir de 0 et en perdant 1PA (elle n'est pas vraiment prête au combat quand l'attaque a lieu : une certaine panique dans l'urgence risque donc de s'installer).
Plus généralement : qu'entend la règle par "devant changer d'attitude" ?
Est ce que ça couvre les passages de PAC/PCH à arrêt pour des infanteries confrontées à un cavalier en opportunité ?
MANÉ Diégo a écrit:La réponse historique à ce genre de problème, et celle de joueurs vétérans, est de ne faire pivoter que une ou deux compagnies de l'extrémité menacée de la ligne, ce qui ne prendra qu'un PA et permettra un feu sans pénalité.
Il me semble qu'un bataillon dans cette organisation "ad hoc" se compte "ni SAF ni FORmé"
Si le bataillon s'est mis préventivement dans cette "formation", doit on logiquement en déduire que le cavalier n'aura pas le -2 "attaquant une infanterie FORmé" ?
S'il le fait pendant l'attaque, que compte le cavalier (l'adversaire ne déclarera comment il réagira qu'après le test des cavaliers réalisés, donc le bataillon est FORmé mais pas de face) et comment se compte le bataillon pendant son test (FORmé ou "ni SAF ni FORmé") ?
Ai je juste en considérant que 2 compagnies est la limite de ce qu'on peut tourner sans subir la pénalité "+1 PA pour pivot de ligne" ? 2 compagnies est en effet la plus grande largeur d'une colonne (de division). Est ce qu'il faut raffiner et considérer les cas de chaque nation (i.e. une compagnie pour Russes et Prussiens, 2 pour Français, Autrichiens et Anglais...) ?
MANÉ Diégo a écrit:L'incidence de l'échec des Scots a du être prise en compte au tour précédent.
En fait pas vraiment : lors de leur combat, les Scots ont été traversés par une colonne qui n'avaient plus que 6 figurines dans ses deux premiers rangs (effet du feu des rifles et d'une batterie avant la charge + des rifles et des Highlanders pendant la charge)
Comme il restait 4 figurines au dernier rang de la colonne, j'ai compté 4 highlanders au combat.
6 attaquants à CAC2 + 2 allures ont fait 3 PAP, 4 Highlanders à CAC3 + 1 de général engagé ont fait 2PAP. Les Highlanders auraient du être REPLI mais ont utilisé leur statut Elite pour n'être que HALTE.
En phase de ralliement et manœuvre de sauvegarde de fin de tour, ils ont toutefois jugé plus sage de décrocher derrière la ligne voisine. La présence des ulhans, initialement derrière le bataillon qui venait de les traverser, précisément ceux qui chargent la ligne à ce nouveau tour, est sans doute pour beaucoup dans cette décision (malheureusement pour moi, les ulhans étaient arrivés là par pivot + avance donc n'avaient pas les 2PA requis pour pouvoir demander l'opportunité contre les Highlanders battus)
Les Highlanders n'ont donc jamais été "en REPLI ou pire" mais comme ils sont clairement en train d'abandonner leur place dans la ligne de bataille, invoquer ce malus ne me semblait pas totalement abusif.
MANÉ Diégo a écrit:Là, s'ils reculent ce n'est pas sous la pression ennemie mais sur ordre pour faire de la place à leurs amis. C'est plus un ralliement qu'une fuite. Il n'y a pas lieu de pénaliser davantage ceux qui le sont déjà par l'absence de soutien. En revanche, pour les Scots, devoir "dégager" plutôt que prévu sous la contrainte, fut-elle amie, est une anticipation qui leur fait perdre le cran de récupération auquel ils avaient droit. Ils vont donc se retrouver plus loin, certes, mais dans le même état.
J'avais étendu le principe "une Fuite compte Retraite en tous points". Cf. aussi le raisonnement ci dessus pour justifier l'application du malus car c'est clairement la pression ennemie qui les fait décrocher (même indirectement)
OK par contre pour qu'il reste HALTE car perturbés dans le ralliement de leur moral négatif