Lorsqu'une cavalerie déclare une charge contre une unité d'infanterie et que le feu de cette dernière l'amène au moral AVAnce, la réduction du moral résultante pour l'infanterie est souvent insuffisante pour la faire passer SAF. Ceci conduit la cavalerie à renoncer à sa charge, ce qui lui inflige une DDF.
Si le tir de l'infanterie amène la cavalerie au moral ARRêt, une application littérale de la règle semble dire qu'il n'y a pas de renonce de la cavalerie (elle s'est arrêtée toute seule), donc pas de DDF.
Ceci est assez surprenant : Une unité finissant avec un plus mauvais moral se retrouve moins pénalisée (hormis les pertes subies potentiellement plus élevées, mais le plus souvent les pertes sont les mêmes et le statut moral final dépend juste du statut moral initial). S'agit il d'un effet de bord non prévu de la règle ou bien y a-t-il une justification historique ?
Ne serait il pas plus simple, et logique, de dire que la DDF s'applique dans tous les cas ?
N.B. : Dans les deux cas, l'unité de cavalerie arrêtée va probablement déclarer une fuite pour éviter un nouveau tir adverse. Cela lui coûtera 2 PA et une DDF supplémentaire.